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3 astuces d’auto-développement – “The Magic Of Thinking Big”

Arrivant dans les dernières pages de “The Magic of Thinking Big” de David J. Schwartz – j’ai eu envie de partager ici 3 principes de développement parmi les nombreux qu’a choisi d’exposer l’auteur dans son ouvrage. Certaines idées du livre peuvent paraitre “datées” pour quelques personnes, mais il y a de vrais trucs utiles ; l’important étant toujours de garder ce qui nous parle et de laisser le reste… Rappelle toi le chamane qui disait : une oreille qui écoute, l’autre qui n’en a rien à foutre. Le livre étant dense, j’aurais pu choisir bien d’autres choses, mais on dira que mon inconscient a choisi ce que je devais poster aujourd’hui.

1. Rappelle-toi régulièrement que tu es meilleur(e) que ce que tu ne penses.

L’auteur rappelle que la plupart des gens qui réussissent ne sont pas des superhéros, qu’ils n’ont pas un superintellect. En revanche il nous dit que ce qu’ils partagent, c’est la croyance qu’ils peuvent y arriver, qu’ils vont réussir, que cela ne fait aucun doute. Dans la discipline qui est l’une de mes favorites, la PNL – mais pas que – il est montré que nos croyances façonnent notre façon de voir le monde et donc notre manière de le vivre, il est donc important de savoir quelles croyance on possède pour ne plus les subir et choisir celles qui nous aident. Les croyances c’est un peu comme les poutres qui soutiennent l’architecture de notre pensée ; entre nous, tu n’as pas envie d’avoir de poutres véreuses, si ?

Ne te brade pas, jamais, estime toi à ta juste valeur : voir point suivant…

2. En finir avec les excuses.

L’auteur mentionne les excuses les plus fréquemment données pour ne pas réussir : la santé, l’intelligence, l’âge (trop jeune, trop vieux) et le manque de chance. Pour faire simple il démonte une à une toutes ces excuses avec des exemples parlants. Ce qu’il faut retenir c’est qu’il est d’avantage pertinent d’arrêter de se trouver des excuses pour ne pas les faire choses. Oui c’est dur au départ mais une fois la nouvelle digérée ça ouvre des horizons.

Quelques conseils donnés par l’auteur pour combattre chacune de ses excuses :

  • La santé : arrête d’en parler, purement et simplement, refuse de t’en inquiéter inutilement, sois reconnaissant (sincèrement !) d’avoir une santé aussi bonne qu’elle est à un instant t, profite des instants de vie qui te sont offerts.
  • L’intelligence : ne sous-estime pas ton intelligence et ne sur-estime pas celle des autres non plus, ce qui compte c’est comment tu utilises ton cerveau, rappelle toi que tes attitudes sont plus importantes que ton intelligence, vois les raisons qui font que tu peux y arriver, pas celles qui justifient ton futur échec
  • L’âge : vois ton âge comme un atout, regarde tout le temps qui te reste encore et comment tu veux l’utiliser, investis le temps futur dans ce que tu veux vraiment faire.
  • Je n’ai pas de chance : accepte simplement la loi de cause et effet. Le succès et l’évolution dépendent des actions que tu prends. Ne compte pas sur la chance, compte sur tes actions.

3. L’action soigne la peur.

L’auteur ne nie pas que la peur est bien réelle, qu’elle empêche de nombreuses personnes de faire ce qu’elles veulent réellement faire. Il nous rappelle également que la confiance n’est pas innée, et qu’elle s’acquiert, que les personnes qui ont confiance en elles ont acquis cette confiance morceau par morceau. Comment ? En passant à l’action. L’inaction se nourrit de la peur qui se nourrit de l’inaction. L’action soigne la peur. L’auteur recommande d’isoler chacune de ses peurs et pour chacune d’entre elle d’identifier une ou plusieurs actions, et ensuite de s’y mettre ! J’ajouterais que la confiance se construit dans l’action, cela fait souvent partie des choses que l’on met en place dans une séance ; se fixer un objectif et se donner les moyens de le réaliser.

Voici quelques exemples de peur avec des exemples d’action qui y sont associées pour les endiguer :

  • Etre gêné(e) à cause de son apparence : améliore la. Va chez le barbier, dans un salon de beauté, ai des vêtements bien propres et repassés, des chaussures cirées, de manière générale, occupe toi de toi.
  • Peur des gens : rappelle toi que l’autre est simplement un autre être humain qui te ressemble plus ou moins. Il n’y a aucune raison qu’il ait peur de toi ; dans l’autre sens c’est pareil.
  • Peur de ce que les autres peuvent penser et dire de ce que je fais : sois sur que ce que tu fais est juste, puis fais-le. Personne ne fait jamais quelque chose qui vaut la peine sans avoir quelques critiques.

Allez on arrête ici en ce dimanche pluvieux, j’espère que quelques uns de ces trucs te seront utiles – bonne journée, après midi, soirée, nuit, selon quand tu lis ces lignes.

Fraternellement, Cédric.


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